
La Grotte, peut-être la meilleure reverb à ressort du monde
La Grotte, Jack White en a rêvé, Anasounds l'a créée
ENTREZ DANS LA GROTTE
Vous n’avez pas pu la rater ! La collaboration entre Jack White et Anasounds a eu l’effet d’une bombe dans le petit écosystème des pédales boutique. Un événement d’une importance telle qu’il pourrait bien changer la face de votre marque préférée (oui c’est votre marque préférée…).
Si l’annonce a pris tout le monde de court, elle n’est pas due au hasard !
Un tel produit, ça ne s’improvise pas ! Depuis la simple demande qui provoque un véritable séisme, jusqu’à la commercialisation sous sa forme finale, nous allons retracer l’histoire de cette incroyable commande qui commence tout simplement par un e-mail.

UN MAIL PEUT CHANGER LE COURS D'UNE VIE
Alors bien évidemment, c'eût été magnifique de recevoir un message rédigé de la main de Jack White. Mais lorsqu’on est à la tête de ce qui s’apparente à un petit empire de la musique, on s’entoure pour gagner un temps de plus en plus précieux. Car Jack White, en plus d’être un artiste original et accompli, est un véritable homme d’affaires. Un touche à tout génial qui sait transformer en or tout ce qu’il touche. La musique, les instruments, la communication, la production, le matériel, le marketing, le stylisme, rien ne lui échappe.
Mais cela fait beaucoup pour un seul homme.
Ce fameux mail est donc rédigé par son bras droit, Christina. Une personnalité centrale du projet qui un matin de printemps 2021 a fait voler en éclat le quotidien de notre Alex d’un sibyllin “Jack adore ce que tu fais, il connaît bien la Elément, et il voudrait que tu fasses quelque chose pour lui”.
Pardon ?
Oui Alex, tu n’en espérais pas tant lorsqu’à peine quelques mois plus tôt, tu envoyais ta spring reverb à ressort revisitée à la mode Anasounds. C’est fou, mais pourtant ça a marché. Jack White t’a acheté du matos, l’a utilisé et l’a aimé. Maintenant il te fait savoir que tu existe dans son coeur, et qu’il apprécie ton travail à tel point qu’il SOLLICITE une collaboration.
A ce qu’il se dit, le mail aurait été lu tellement de fois que les caractères commenceraient à s'effacer, Lord have mercy ...

UN MAIL PEUT CHANGER LE COURS D'UNE VIE
Alors bien évidemment, c'eût été magnifique de recevoir un message rédigé de la main de Jack White. Mais lorsqu’on est à la tête de ce qui s’apparente à un petit empire de la musique, on s’entoure pour gagner un temps de plus en plus précieux. Car Jack White, en plus d’être un artiste original et accompli, est un véritable homme d’affaires. Un touche à tout génial qui sait transformer en or tout ce qu’il touche. La musique, les instruments, la communication, la production, le matériel, le marketing, le stylisme, rien ne lui échappe.
Mais cela fait beaucoup pour un seul homme.
Ce fameux mail est donc rédigé par son bras droit, Christina. Une personnalité centrale du projet qui un matin de printemps 2021 a fait voler en éclat le quotidien de notre Alex d’un sybillin “Jack adore ce que tu fais, il connaît bien la Elément, et il voudrait que tu fasses quelque chose pour lui”.
Pardon ?
Oui Alex, tu n’en espérais pas tant lorsqu’à peine quelques mois plus tôt, tu envoyais ta spring reverb à ressort revisitée à la mode Anasounds. C’est fou, mais pourtant ça a marché. Jack White t’a acheté du matos, l’a utilisé et l’a aimé. Maintenant il te fait savoir que tu existe dans son coeur, et qu’il apprécie ton travail à tel point qu’il SOLLICITE une collaboration.
A ce qu’il se dit, le mail aurait été lu tellement de fois que les caractères commenceraient à s'effacer, Lord have mercy ...

"ELEMENT" DECLENCHEUR
Vous l’aurez compris, le banger que fut la pédale Element, c'est aussi le point de départ de cette aventure. A l’époque, les 3 tanks répondaient à un problème pratique et technique : “je veux une reverb à ressort mais je ne veux pas perdre de place sur mon pedalboard”. C’est ainsi que voit le jour une réverb à ressort modulaire imaginée sous la douche un matin (ce détail a son importance, nous y reviendront). Gain de place aux pieds sans concession sur le son inimitable d’un véritable ressort qui vibre, modularité, transportabilité et ouverture du champ des possibles.
Typiquement celui qui veut le son surf du très grand tank (Le truand) peut le visser dans son cab et faire courir un câble jusqu'au pedalboard. Celui qui veut le bon (le plus petit) pour un son un peu slapback, un peu perché, un peu Lofi dans l'idée, peut le mettre sur /sous le pedalboard et lui coller de grands coups de pied (essayez, ça fait BOING !).
Ca n’est d’ailleurs pas un hasard si cette idée sous-tend la Grotte. En effet, c’est ainsi que s’en servait notre ami Alex sur son pédalier personnel. Et qui sait, peut-être aussi Jack White lui-même, puisque nous l’évoquions précédemment, en 2019, la fameuse Christina commandait (et payait !) une Element pour Jack White. A l’heure d'écrire ces lignes, cela fait donc 4 ans que dans le studio de Jack White traîne une Elément accompagnée de ses 3 tanks. Peut-être l'a t‘on d’ailleurs déjà entendue sur un album de Jack, va savoir …


"ELEMENT" DECLENCHEUR
Vous l’aurez compris, le banger que fut la pédale Element, c'est aussi le point de départ de cette aventure. A l’époque, les 3 tanks répondaient à un problème pratique et technique : “je veux une reverb à ressort mais je ne veux pas perdre de place sur mon pedalboard”. C’est ainsi que voit le jour une réverb à ressort modulaire imaginée sous la douche un matin (ce détail a son importance, nous y reviendront). Gain de place aux pieds sans concession sur le son inimitable d’un véritable ressort qui vibre, modularité, transportabilité et ouverture du champ des possibles.
Typiquement celui qui veut le son surf du très grand tank (Le truand) peut le visser dans son cab et faire courir un câble jusqu'au pedalboard. Celui qui veut le bon (le plus petit) pour un son un peu slapback, un peu perché, un peu Lofi dans l'idée, peut le mettre sur/sous le pedalboard et lui coller de grands coups de pied (essayez, ça fait BOING !).
Ca n’est d’ailleurs pas un hasard si cette idée sous-tend la Grotte. En effet, c’est ainsi que s’en servait notre ami Alex sur son pédalier personnel. Et qui sait, peut-être aussi Jack White lui-même, puisque nous l’évoquions précédemment, en 2019, la fameuse Christina commandait (et payait !) une Element pour Jack White. A l’heure d'écrire ces lignes, cela fait donc 4 ans que dans le studio de Jack White traîne une Elément accompagnée de ses 3 tanks. Peut-être l'a t‘on d’ailleurs déjà entendue sur un album de Jack, va savoir …
LA GENESE
Mais revenons-en à ce fameux mail. Jack White est bien entré en possession de sa Element, et moins d’un an s’est écoulé lorsque l’écran d’Alex s’allume, affichant une nouvelle réception dans la messagerie.
Le début du conte de fées ? Détrompez-vous
LA DOUCHE FROIDE
Si l'événement est de taille, le défi semble rapidement insurmontable. La demande porte sur un concept particulièrement compliqué à mettre en œuvre : une “oil can” reverb. L’adaptation d’un schéma de delay articulé autour d’un genre de boîte de conserve qui baigne dans l'huile et qui prend une empreinte magnétique. Quand un disque tourne à l'intérieur, cela crée un retard sur le signal entrant.
On retrouve ce fonctionnement sur plusieurs modèles de pédales comme une fameuse Morley chromée remplie de plein de trucs toxiques pas du tout tolérés par l’UE et qui tombait très bien en panne.
Le travail préalable commence, et rapidement le couperet tombe. Entre une balance de risque extrêmement forte et un coût de R&D (recherche et développement) qui se monterait au bas mot entre 50 à 100 000€, les comptes ne sont pas bons Jack. Malgré l’envie de travailler pour l’artiste, le réalisme économique impose un constat sans appel. A l'échelle de Palf, c'est inenvisageable. La mort dans l’âme, la réponse négative est envoyée à Christina. Et pendant 2 ans, plus rien.
Vous avez 1 nouveau message
Alex a pansé ses plaies, il est passé à autre chose. Palf.fr est né, de nombreuses pédales plus incroyables les unes que les autres ont vu le jour, la vie a repris son cours.
Le séisme nommé Christina cueille cette fois notre ami au saut du lit, décalage horaire oblige. “Mon cher Alex, comment vas-tu ? Bon on a réfléchi, on veut que tu fasses ça” et en pièce jointe, le dessin de ce qui deviendra la Grotte. On est début 2023.
Immédiatement, l’équipe sent que cette fois-ci, il y a une carte à jouer. A commencer par le Julien Bitoun, complice de la première heure et fanatique absolu de Jack White. Pour lui, c’est inenvisageable de ne pas s’y jeter à corps perdu.
Au restaurant brésilien du bout de la rue, à grands renforts de pina colada, il convainc un Alex échaudé par la déception de l’oil can reverb que cette fois-ci, c’est la bonne ! Les voici donc en pleine nuit de retour aux bureaux d’Anasounds pour écrire la réponse que Christina attendait fiévreusement : “C’est d’accord, on y va !”

LA GENESE
Mais revenons-en à ce fameux mail. Jack White est bien entré en possession de sa Element, et moins d’un an s’est écoulé lorsque l’écran d’Alex s’allume, affichant une nouvelle réception dans la messagerie.
Le début du conte de fées ? Détrompez-vous
LA DOUCHE FROIDE
Si l'événement est de taille, le défi semble rapidement insurmontable. La demande porte sur un concept particulièrement compliqué à mettre en œuvre : une “oil can” reverb. L’adaptation d’un schéma de delay articulé autour d’un genre de boîte de conserve qui baigne dans l'huile et qui prend une empreinte magnétique. Quand un disque tourne à l'intérieur, cela crée un retard sur le signal entrant.
On retrouve ce fonctionnement sur plusieurs modèles de pédales comme une fameuse Morley chromée remplie de plein de trucs toxiques pas du tout tolérés par l’UE et qui tombait très bien en panne.

Le travail préalable commence, et rapidement le couperet tombe. Entre une balance de risque extrêmement forte et un coût de R&D (recherche et développement) qui se monterait au bas mot entre 50 à 100 000€, les comptes ne sont pas bons Jack. Malgré l’envie de travailler pour l’artiste, le réalisme économique impose un constat sans appel. A l'échelle de Palf, c'est inenvisageable. La mort dans l’âme, la réponse négative est envoyée à Christina. Et pendant 2 ans, plus rien.
Vous avez 1 nouveau message
Alex a pansé ses plaies, il est passé à autre chose. Palf.fr est né, de nombreuses pédales plus incroyables les unes que les autres ont vu le jour, la vie a repris son cours.
Le séisme nommé Christina cueille cette fois notre ami au saut du lit, décalage horaire oblige. “Mon cher Alex, comment vas-tu ? Bon on a réfléchi, on veut que tu fasses ça” et en pièce jointe, le dessin de ce qui deviendra la Grotte. On est début 2023.
Immédiatement, l’équipe sent que cette fois-ci, il y a une carte à jouer. A commencer par le Julien Bitoun, complice de la première heure et fanatique absolu de Jack White. Pour lui, c’est inenvisageable de ne pas s’y jeter à corps perdu.
Au restaurant brésilien du bout de la rue, à grands renforts de pina colada, il convainc un Alex échaudé par la déception de l’oil can reverb que cette fois-ci, c’est la bonne ! Les voici donc en pleine nuit de retour aux bureaux d’Anasounds pour écrire la réponse que Christina attendait fiévreusement : “C’est d’accord, on y va !”
LES CHOSES SERIEUSES COMMENCENT
Jack White a choisi le nom de “La Grotte”. De même, son équipe a imposé le design, le concept, le voicing. On peut donc dire qu’il s’agit vraiment d’une pure commande. Un produit qu’Anasounds doit concevoir et produire, mais qui sera estampillé Thirdman Hardware. Le process est inédit (et de leur aveu plutôt déplaisant) pour une équipe qui a l’habitude de créer ses produits de bout en bout. Il a donc fallu qu’Alex retourne sous la douche ! Que voulez-vous, certains inventeurs font appel à la drogue pour se dépasser, mais dans le cas d’Alex, c’est sous la douche que les idées fusent. Il fallait que ça soit dit !
LA CONCEPTION
Pour gagner en efficacité, l’équipe fait appel à une vieille connaissance, Rodolphe, créateur de la marque Tampco. Sa mission ? Travailler sur le préampli, élément clé de la nouvelle pédale à concevoir. Concrètement, la Grotte sera une hybridation de la “Tone oven” (excellente overdrive de Tampco) qui, après un travail sur le voicing, va se mélanger magnifiquement avec la circuiterie de la Elément.
UN CAHIER DES CHARGES TRES PRECIS ET SANS CONCESSIONS
A la manœuvre, un personnage important dans l’univers sonore de Jack White apparaît dans la boucle. Dan Mancini est le guitartech live attitré ainsi que le bricoleur en chef de Thirdman. Dès le début du chantier, il propose une approche très aboutie du produit. Pour lever tout malentendu, il explique tout le matos qu'utilise Jack White. Il met ainsi en lumière la logique à suivre en termes d’intégration au pedalboard, permet de comprendre à quoi, et comment La Grotte va être utilisée. En résumé, ce que Jack veut et ne veut pas. Et bien sûr, c'est Dan le premier qui va valider le son. Car Jack ne parle pas directement. Pour des questions de santé mentale évidentes, ça n’est pas lui qui intervient, il n’écrit pas les mail, ne passe pas les appels, et il a bien raison ! Mais il valide tout, il sait tout ce qu’il se passe, il connaît chaque étape du produit.
Le point de départ, c’est une envie sonore. Tel un Willy Wonka qui prévoit un bonbon pour lui-même. Il n’y a pas de questionnement sur une quelconque viabilité commerciale, un manque dans la gamme ou quoi que ce soit. C'est juste une irrépressible envie de reverb à ressort. Il n‘a rien de plus que des attentes bien précises qu’il communique à Dan pour les mettre en œuvre. D’ailleurs, pour l’anecdote, les retours de Jack White ont dans un premier temps totalement détruit les idées préconçues de l’équipe qui s'attendait, par exemple, à devoir caler des préamps dégueulasses avec du grain, comme en recèle le Silvertone, son ampli fétiche. Exit le switch fuzzy. Exit aussi la version drip de Rodolphe. Jack n’en veut pas. Il veut le son de la Elément qu’il aime tel quel. Pourtant il y a un problème.
En l’état, le son de la Elément se fracasse sur le mur de décibels que délivrent les amplis de l’artiste sur scène. Elle ne peut simplement pas exister, elle n’a aucune issue. Il lui faut beaucoup plus de volume ! Mais cette fois-ci l’echec n’est pas une option. S’ensuivent 6 mois de torture mentale pour surmonter l’ecueil. Un défi brillamment relevé puisque Rodolphe fait l’offrande d’un morceau du circuit de sa Tone Oven qui apporte le gros coup de pied au derrière attendu, et en bonus une jolie petite réserve de gain qui crunch en poussant le “DRY” dans ses retranchements, que du bonheur !

UN CAHIER DES CHARGES TRES PRECIS ET SANS CONCESSIONS
A la manœuvre, un personnage important dans l’univers sonore de Jack White apparaît dans la boucle. Dan Mancini est le guitartech live attitré ainsi que le bricoleur en chef de Thirdman. Dès le début du chantier, il propose une approche très aboutie du produit. Pour lever tout malentendu, il explique tout le matos qu'utilise Jack White. Il met ainsi en lumière la logique à suivre en termes d’intégration au pedalboard, permet de comprendre à quoi, et comment La Grotte va être utilisée. En résumé, ce que Jack veut et ne veut pas. Et bien sûr, c'est Dan le premier qui va valider le son. Car Jack ne parle pas directement. Pour des questions de santé mentale évidentes, ça n’est pas lui qui intervient, il n’écrit pas les mail, ne passe pas les appels, et il a bien raison ! Mais il valide tout, il sait tout ce qu’il se passe, il connaît chaque étape du produit.
Le point de départ, c’est une envie sonore. Tel un Willy Wonka qui prévoit un bonbon pour lui-même. Il n’y a pas de questionnement sur une quelconque viabilité commerciale, un manque dans la gamme ou quoi que ce soit. C'est juste une irrépressible envie de reverb à ressort. Il n‘a rien de plus que des attentes bien précises qu’il communique à Dan pour les mettre en œuvre. D’ailleurs, pour l’anecdote, les retours de Jack White ont dans un premier temps totalement détruit les idées préconçues de l’équipe qui s'attendait, par exemple, à devoir caler des préamps dégueulasses avec du grain, comme en recèle le Silvertone, son ampli fétiche. Exit le switch fuzzy. Exit aussi la version drip de Rodolphe. Jack n’en veut pas. Il veut le son de la Elément qu’il aime tel quel. Pourtant il y a un problème.
En l’état, le son de la Elément se fracasse sur le mur de décibels que délivrent les amplis de l’artiste sur scène. Elle ne peut simplement pas exister, elle n’a aucune issue. Il lui faut beaucoup plus de volume ! Mais cette fois-ci l’echec n’est pas une option. S’ensuivent 6 mois de torture mentale pour surmonter l’ecueil. Un défi brillamment relevé puisque Rodolphe fait l’offrande d’un morceau du circuit de sa Tone Oven qui apporte le gros coup de pied au derrière attendu, et en bonus une jolie petite réserve de gain qui crunch en poussant le “DRY” dans ses retranchements, que du bonheur !
LES SPECS
Ces mois de labeur n’ont donc pas été vains puisque il en “ressort” (haha) diverses features et autres améliorations notables qui vont faire de La Grotte une version ultime de la reverb Element et de son tank “le Bon” :
3 ressorts, car Thirdman oblige, toujours cette obsession pour le chiffre 3, et puis parce que 3 c’est mieux que 2, tout simplement.
- Un design noir et jaune emblématique de la marque
- Un voicing complètement retravaillé pour coller aux exigences de Jack White
- Suppression du switch fuzzy qui était présent sur la Element
- 2 potards grave/aigu qui n’agissent que sur le “WET” pour ajuster encore un peu plus le caractère de la pédale
- Réduction drastique du bruit généré par le câble d’isolation
- Augmentation de la réserve de volume disponible puisque la demande impérieuse était qu’à midi le volume soit déjà très conséquent
- Ajout de 2 controles dry/wet pour permettre de faire ressortir ou de noyer le son en conservant la même longueur de traîne. Cela permet aussi de faire saturer les 2 signaux séparément à partir de la moitié de la course
- L’option “trails on” ou “true bypass” qui s’enclenche à l’aide d’un trimpot à l’interieur de la pédale.
- Un autre trimpot interne qui permet de regler le gain, positionné sur ¼ par défaut
- Une série de leds jaune qui s’allument pour éclairer les ressorts en fonction de votre attaque
- Un déclenchement parfaitement silencieux qui fut un petit défi en soi. Une prouesse technique qui va pouvoir, si vous le désirez (encore un trimpot), effacer l’attaque à l’enclenchement. En résulte l’élimination du bien connu “pop” par ce qui s’apparente à un fade-in qui coupe cette 1ere attaque fatidique
- Une option “Pan” qui permet d’encaisser les volumes importants de certains autres instruments (oui on peut s’en servir sur un Moog par exemple).
La Grotte, en respectant le cahier des charges de Jack White, c’est un peu la version corrigée, sublimée de la Elément, comme si l’artiste avait compilé les remarques des utilisateurs. La pédale hérite aussi d'un switch plus résistant pour que l’effet ne se déclenche pas au moindre coup de grosse caisse.
Il existe une édition limitée avec le boîtier jaune et les motifs noirs ! Il y en a exactement 333 disponibles chez Thirdman. Connaissant la team, en prenant la jaune chez eux vous allez recevoir des petits goodies, et le packaging ne sera pas exactement le même. L'édition noire avec le boîtier texturé sera en vente sur Palf a un prix légèrement inférieur.

LA REVELATION
Au printemps 2023 arrive un petit coup de pression de l’équipe Thirdman. En voulant trop bien faire, Alex perd un temps précieux. L’objectif affiché d’une livraison à l’occasion du Namm 2024 semble lentement s’éloigner, et ça les inquiète. Les specs sont donc arrêtées en l’état, Rodolphe va officiellement rejoindre l’équipe pour un temps, et comme il en rêvait, il sera aussi du voyage au Namm. Décollage pour Anaheim le 22 janvier 2024.
Le stand Anasounds est monté, le salon est lancé. Et c’est le matin du deuxième jour que le véritable enjeu se matérialise. Les exposants pouvant entrer une heure avant l'ouverture au public, c’est le moment choisi pour révéler le prototype de la Grotte à l'équipe de Thirdman. L'excitation est à son comble lorsque apparaît la team, avec sous les bras la Billy Bo blanche de la BO James Bond ainsi que la telecaster bleue de la précédente tournée.
C’est cette dernière qui ouvre la danse d’un test sonore hyper intense. Au menu, deux déclinaisons de la Grotte, avec du drip ou sans drip. Ils comparent pour ne garder que la version sans. Écoute au casque, démarche hyper analytique qui manque de tourner au cauchemar lorsqu’ils entendent une fréquence indésirable. Rodolphe en roue libre parle de filtres pour virer ça, en mode “on va tout recréer !”. Et la solution qui apparaît comme une évidence. Pour réduire le bruit à l’allumage, le 3e ressort avait été retiré. Un gain d’efficacité qui avait eu l’effet de changer le son de manière dramatique à leurs oreilles d'esthètes …
Forcément ! Étaient alors présents entre autres Bill qui s'occupe du label, Dan l'ingé son résident de Thirdman. C'est lui le créateur par exemple de la Fuzzotron, et ce genre de gars, ils entendent tout ! La demande est catégorique, il faut que le 3e ressort fasse son retour. C’est donc à eux que l’on doit l’enclenchement silencieux par fade in/out, puisque c’est cette feature qui a permis de remettre ce 3e ressort dans la boîte sans ajouter de bruits indésirables. Le moment fut beau et fou à la fois. Très intense, il s’achèvera autour d’un repas gargantuesque avec l’équipe dans un très beau resto de la ville.

VERDICT: JACK WHITE L'UTILISE ET SON DERNIER ALBUM "NO NAME" EN REGORGE !
Pour l’anecdote, l’album, initialement pressé en vinyle blanc avec un simple “no name” ecrit sur la rondelle, fut d’abord glissé en douce dans les paniers des clients se rendant dans les locaux de Thirdman Records pour y faire leurs emplettes. Une distribution en secret qui montre encore une fois l’esprit joueur qui anime l’artiste quand il s’agit de faire des cadeaux aux ‘vrais fans”.
L'anecdote dans l’anecdote, c’est que la sortie de l’album a retardé la sortie de la pédale d’un mois puisque c’est sans crier gare que la galette a été droppée dans les sacs. Du coup, pour des raisons évidentes de télescopage commercial, la pédale a été retenue un mois de plus dans les cartons.
L’anecdote dans l’anecdote dans l’anecdote, c’est qu’avant la sortie officielle de la Grotte (qui a donc été décalée, il faut suivre), la pédale a été découverte sur le pedalboard live de Jack White au cours des premières dates de sa tournée actuelle, et bien sûr, une nouvelle pédale dont personne ne sait rien sur son pédalier, ça excite la curiosité !
Car il faut le savoir, il y a de la Grotte partout sur l’album! Et en bonus, on a même pu recueillir un tips de Jack White en personne pour l’utilisation de la Grotte en live. Attention c’est parti pour une info vitale :
Jack White n’en utilise pas 1 mais 2 ! Donc il vous en faut deux, c’est impératif. La première est en mode traditionnel, fin de chaine, avec ses reglages perso, bas à fond et aigus à 0. La 2e est intégrée à la boucle de sa Triple graph pour être déclenchable sur une attaque précise, et non enclenchée en permanence. Magique.
LES SPECS
Ces mois de labeur n’ont donc pas été vains puisque il en “ressort” (haha) diverses features et autres améliorations notables qui vont faire de La Grotte une version ultime de la reverb Element et de son tank “le Bon” :
3 ressorts, car Thirdman oblige, toujours cette obsession pour le chiffre 3, et puis parce que 3 c’est mieux que 2, tout simplement
- Un design noir et jaune emblématique de la marque
- Un voicing complètement retravaillé pour coller aux exigences de Jack White
- Suppression du switch fuzzy qui était présent sur la Element
- 2 potards grave/aigu qui n’agissent que sur le “WET” pour ajuster encore un peu plus le caractère de la pédale
- Réduction drastique du bruit généré par le câble d’isolation
- Augmentation de la réserve de volume disponible puisque la demande impérieuse était qu’à midi le volume soit déjà très conséquent
- Ajout de 2 controles dry/wet pour permettre de faire ressortir ou de noyer le son en conservant la même longueur de traîne. Cela permet aussi de faire saturer les 2 signaux séparément à partir de la moitié de la course
- L’option “trails on” ou “true bypass” qui s’enclenche à l’aide d’un trimpot à l’interieur de la pédale.
- Un autre trimpot interne qui permet de regler le gain, positionné sur ¼ par défaut
- Une série de leds jaune qui s’allument pour éclairer les ressorts en fonction de votre attaque
- Un déclenchement parfaitement silencieux qui fut un petit défi en soi. Une prouesse technique qui va pouvoir, si vous le désirez (encore un trimpot), effacer l’attaque à l’enclenchement. En résulte l’élimination du bien connu “pop” par ce qui s’apparente à un fade-in qui coupe cette 1ere attaque fatidique
- Une option “Pan” qui permet d’encaisser les volumes importants de certains autres instruments (oui on peut s’en servir sur un Moog par exemple).
La Grotte, en respectant le cahier des charges de Jack White, c’est un peu la version corrigée, sublimée de la Elément, comme si l’artiste avait compilé les remarques des utilisateurs. La pédale hérite aussi d'un switch plus résistant pour que l’effet ne se déclenche pas au moindre coup de grosse caisse.
Il existe une édition limitée avec le boîtier jaune et les motifs noirs ! Il y en a exactement 333 disponibles chez Thirdman. Connaissant la team, en prenant la jaune chez eux vous allez recevoir des petits goodies, et le packaging ne sera pas exactement le même. L'édition noire avec le boîtier texturé sera en vente sur Palf a un prix légèrement inférieur.

LA REVELATION
Au printemps 2023 arrive un petit coup de pression de l’équipe Thirdman. En voulant trop bien faire, Alex perd un temps précieux. L’objectif affiché d’une livraison à l’occasion du Namm 2024 semble lentement s’éloigner, et ça les inquiète. Les specs sont donc arrêtées en l’état, Rodolphe va officiellement rejoindre l’équipe pour un temps, et comme il en rêvait, il sera aussi du voyage au Namm. Décollage pour Anaheim le 22 janvier 2024
Le stand Anasounds est monté, le salon est lancé. Et c’est le matin du deuxième jour que le véritable enjeu se matérialise. Les exposants pouvant entrer une heure avant l'ouverture au public, c’est le moment choisi pour révéler le prototype de la Grotte à l'équipe de Thirdman. L'excitation est à son comble lorsque apparaît la team, avec sous les bras la Billy Bo blanche de la BO James Bond ainsi que la telecaster bleue de la précédente tournée.
C’est cette dernière qui ouvre la danse d’un test sonore hyper intense. Au menu, deux déclinaisons de la Grotte, avec du drip ou sans drip. Ils comparent pour ne garder que la version sans. Écoute au casque, démarche hyper analytique qui manque de tourner au cauchemar lorsqu’ils entendent une fréquence indésirable. Rodolphe en roue libre parle de filtres pour virer ça, en mode “on va tout recréer !”. Et la solution qui apparaît comme une évidence. Pour réduire le bruit à l’allumage, le 3e ressort avait été retiré. Un gain d’efficacité qui avait eu l’effet de changer le son de manière dramatique à leurs oreilles d'esthètes …
Forcément ! Étaient alors présents entre autres Bill qui s'occupe du label, Dan l'ingé son résident de Thirdman. C'est lui le créateur par exemple de la Fuzzotron, et ce genre de gars, ils entendent tout ! La demande est catégorique, il faut que le 3e ressort fasse son retour. C’est donc à eux que l’on doit l’enclenchement silencieux par fade in/out, puisque c’est cette feature qui a permis de remettre ce 3e ressort dans la boîte sans ajouter de bruits indésirables. Le moment fut beau et fou à la fois. Très intense, il s’achèvera autour d’un repas gargantuesque avec l’équipe dans un très beau resto de la ville.
VERDICT: JACK WHITE L'UTILISE ET SON DERNIER ALBUM "NO NAME" EN REGORGE !
Pour l’anecdote, l’album, initialement pressé en vinyle blanc avec un simple “no name” ecrit sur la rondelle, fut d’abord glissé en douce dans les paniers des clients se rendant dans les locaux de Thirdman Records pour y faire leurs emplettes. Une distribution en secret qui montre encore une fois l’esprit joueur qui anime l’artiste quand il s’agit de faire des cadeaux aux ‘vrais fans”.
L'anecdote dans l’anecdote, c’est que la sortie de l’album a retardé la sortie de la pédale d’un mois puisque c’est sans crier gare que la galette a été droppée dans les sacs. Du coup, pour des raisons évidentes de télescopage commercial, la pédale a été retenue un mois de plus dans les cartons.
L’anecdote dans l’anecdote dans l’anecdote, c’est qu’avant la sortie officielle de la Grotte (qui a donc été décalée, il faut suivre), la pédale a été découverte sur le pedalboard live de Jack White au cours des premières dates de sa tournée actuelle, et bien sûr, une nouvelle pédale dont personne ne sait rien sur son pédalier, ça excite la curiosité !
Car il faut le savoir, il y a de la Grotte partout sur l’album ! Et en bonus, on a même pu recueillir un tips de Jack White en personne pour l’utilisation de la Grotte en live. Attention c’est parti pour une info vitale :
Jack White n’en utilise pas 1 mais 2 ! Donc il vous en faut deux, c’est impératif. La première est en mode traditionnel, fin de chaine, avec ses reglages perso, bas à fond et aigus à 0. La 2e est intégrée à la boucle de sa Triple graph pour être déclenchable sur une attaque précise, et non enclenchée en permanence. Magique.

CONCLUSION : CE SONT LES MUSICIENS QUI EN PARLENT LE MIEUX
JULIEN BITOUN : “J'adore la reverb à ressort, voilà merci ça méritait d'être dit. Je me souviens encore du premier accord que j'ai gratté avec de la reverb dessus, et c'était une reverb à ressort. Je me souviens avoir demandé au vendeur comment ça se fait que ça sonne aussi bien, et il s'est foutu de ma gueule évidemment. Ce côté riche harmoniquement de la reverb à ressort pour moi c'est quelque chose d'irremplaçable et alors à plus forte raison quand c'est préamplifié, ça ajoute une personnalité au son qui est immédiatement évocatrice. Pour moi c'est une couleur, c'est comme un voyage temporel, c'est comme filmer avec de la vraie pellicule. Tu as tout de suite un grain, ça raconte tout de suite une histoire. C'est tout de suite plus romantique en fait, et c'est pas leur connerie de numérique qui va faire la même chose, c’est sûr que non, faut arrêter ! C'est bien mais c'est pas pareil ! Non ça c'est vivant en fait c'est le vrai truc voilà !! Ca marche aussi pour faire le marimba de l'enfer, j'adore, tu as de la réserve, tu as moyen de faire le con !!!” ... Calme toi Julien …


SWANN VAUDE : “La question qui me vient en utilisant cette pédale, c’est comment va t’on faire désormais pour vivre sans ? Qui dit reverb à ressorts dit Surf, Rockabilly, Funk, Reggae, Hip Hop, Soul, Post-Rock Ambiant, cinématique ... C’est une couleur indissociable de tellement de styles que la liste est trop longue. C’est une reverb artificielle qui a été vraiment créée pour les guitaristes. Dans le cas de la Grotte, on a plus un véritable instrument qui permet de naviguer dans diverses esthétiques avec style, et bien au-delà puisqu’elle propose nativement une relecture drastique de tous ces sons adorés, pour encore plus d’inspiration et d'expérimentations. Jouissif !”
CONCLUSION : CE SONT LES MUSICIENS QUI EN PARLENT LE MIEUX
JULIEN BITOUN
“J'adore la reverb à ressort, voilà merci ça méritait d'être dit. Je me souviens encore du premier accord que j'ai gratté avec de la reverb dessus, et c'était une reverb à ressort. Je me souviens avoir demandé au vendeur comment ça se fait que ça sonne aussi bien, et il s'est foutu de ma gueule évidemment. Ce côté riche harmoniquement de la reverb à ressort pour moi c'est quelque chose d'irremplaçable et alors à plus forte raison quand c'est préamplifié, ça ajoute une personnalité au son qui est immédiatement évocatrice. Pour moi c'est une couleur, c'est comme un voyage temporel, c'est comme filmer avec de la vraie pellicule. Tu as tout de suite un grain, ça raconte tout de suite une histoire. C'est tout de suite plus romantique en fait, et c'est pas leur connerie de numérique qui va faire la même chose, c’est sûr que non, faut arrêter ! C'est bien mais c'est pas pareil ! Non ça c'est vivant en fait c'est le vrai truc voilà !! Ca marche aussi pour faire le marimba de l'enfer, j'adore, tu as de la réserve, tu as moyen de faire le con !!!” ... Calme toi Julien …


SWAN VAUDE
“La question qui me vient en utilisant cette pédale, c’est comment va t’on faire désormais pour vivre sans ? Qui dit reverb à ressorts dit Surf, Rockabilly, Funk, Reggae, Hip Hop, Soul, Post-Rock Ambiant, cinématique ... C’est une couleur indissociable de tellement de styles que la liste est trop longue. C’est une reverb artificielle qui a été vraiment créée pour les guitaristes. Dans le cas de la Grotte, on a plus un véritable instrument qui permet de naviguer dans diverses esthétiques avec style, et bien au-delà puisqu’elle propose nativement une relecture drastique de tous ces sons adorés, pour encore plus d’inspiration et d'expérimentations. Jouissif !”


LES PROTAGONISTES
Jack White : John Anthony Gillis, surnommé White par le truchement du nom de son ex-femme Megan White est un musicien proteiforme (chanteur, guitariste, batteur) issu de la scène garage hyper riche de Détroit, ville d’une importance capitale dans la culture rock US (Les Stooges, MC5, Alice Cooper, mais aussi la Motown …).
Il commence par gagner sa vie en retapant de vieux fauteuils et canapés au sein de sa petite entreprise, Thirdman Up Story. Dès le début, il se fait appeler Jack White the third, en référence au magnifique film d’Orson Wells, le 3e homme.
Poète et fantasque, il sort en 1999 le 1er album des White Stripes avec sa femme Megan à la batterie. L’explosion mondiale arrive avec le 4e album et le single “7 Nation Army”. Le succès est aussi au rendez-vous avec son autre groupe, les Raconteurs monté avec Brendan Benson qui est un ami de longue date.
Premier album en 2006. “Steady as she goes” est un énorme tube. En 2009 il passe à la batterie pour le projet Dead Weather avec Alison Mosshart, chanteuse du duo “The Kills”, et Dean Fertita aux guitares et claviers qui officie aussi au sein de Queens of the stone age. 2012 marque le début de ses projets solo, le tube Lazzaretto est son titre phare.
Au fil des années et des projets, celui qu’on voyait plutôt comme un intégriste blues du Mississipi avec sa Airline en plastique des années 60 va laisser entrevoir une véritable passion pour les instruments et le matériel au sens large. On va le voir jouer sur Telecaster, Gretsch, Musicman EVH, Saint Vincent …
L'esthétique et les couleurs sont très importantes, Jack veut tout contrôler, comme l’atteste le label Thirdman Records lancé dès 2001. C’est avant tout un projet monté avec l’intention de ressortir les albums des White Stripes en vinyle, mais en 2009, cela devient aussi un studio d’enregistrement accompagné d’une boutique physique et d’un bar à cocktail (le Thirdman Vault). Tout cela se trouve d’abord à Nashville, avant d’ouvrir une succursale à Detroit, puis une autre à Londres.
Et comme pour donner corps à cette quête, le label lance une gamme de matériel par le biais d’une succursale, Thirdman Hardware.
Thirdman Hardware : Le nom est assez récent puisque jusqu’à tout récemment le matériel endorsé par Jack White l’était par le biais du label Thirdman records. Le marque possède à son actif quelques effets originaux qui ont reçu un bel accueil au cœur de la communauté guitaristique. Des fuzz, mais pas seulement. On parle ici des Triple Graph, Bumble, Double Down, Mantic, Triple Threat, Plasma et dorénavant, de la Grotte bien évidemment. La logique commerciale est toujours orientée sur une signature visuelle forte, et fait une place de choix aux goodies et autres séries limitées aux couleurs inversées, comme certains modèles qui ne peuvent être achetés qu’en présentiel, en se rendant dans les locaux du Thirdman Vault. Il n’en fallait pas plus pour exciter les geeks et les collectionneurs de tous poils …
Et désormais tout leur catalogue est disponible sur la boutique Palf !
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